C'est parti pour la vie étudiante !
Bien installé dans son studio à Paris, Sam se sent privilégié par rapport à ses collègues de la Sorbonne, où il a été accepté pour sa première année de droit.…
Cette question ils se la posent, parce qu’on la leur a déjà posée des dizaines de fois, depuis qu’ils ont annoncé la bonne nouvelle à leur entourage. Finalement ce sera non, Julie et Charel ne feront pas de liste de naissance, car ils ont chacun des neveux et nièces dont ils vont hériter poussette, maxi-cosi, table à langer, sac de portage, vêtements et autres. Et puis tout le reste, ils vont l’acheter en seconde main quand ils en auront besoin, car des annonces d’objets de puériculture d’occasion, en très bon état, ce n’est pas ce qu’il manque sur internet.
Ce qu’ils souhaitent avant tout pour leur bébé, c’est qu’il soit en bonne santé et qu’il puisse profiter de ses cadeaux de naissance, pas qu’ils disparaissent, une fois qu’on en a plus besoin.
D’ailleurs, offrir à leur bébé un petit coup de pouce financier lorsqu’il aura atteint l’âge adulte leur semble plus judicieux. En mettant de côté des économies tout de suite, la somme accumulée plus tard sera plus grande non ? Bien qu’il y ait encore suffisamment de temps pour penser à cela, mieux vaut prévenir que guérir !
Papi tient absolument à ouvrir un compte d’épargne à son petit-fils / sa petite fille, car c’est ce qu’il a fait à la naissance de Julie. À peine née, il avait ouvert un compte à son nom et y plaçait chaque mois un certain montant. De plus, à chaque occasion, telle que son baptême, sa communion, ses anniversaires etc. la famille de Julie lui versait de l’argent sur son compte, « pour plus tard » disaient-ils. Ce n’est qu’à ses 18 ans, que Julie a eu accès à son compte, et la somme accumulée jusqu’alors, était plutôt élevée. En effet, les 18 années pendant lesquelles son père a économisé pour elle, en plus des cadeaux généreux de sa famille, et les intérêts qui venaient s’ajouter à la fin de chaque année, font que Julie avait largement assez d’apport de côté pour souscrire son prêt immobilier.
Julie n’était pas la seule à avoir un papa prévoyant, Charel aussi et la plupart des enfants de leur génération aussi. À l’époque, c’était ainsi que cela se faisait.
Il est certain que le compte d’épargne d’aujourd’hui est très différent de celui qu’un enfant pouvait avoir il y a 30 ans. Deux facteurs sont à prendre en compte pour comprendre ce changement :
En tant que bon futur papa prévoyant, Charel s’est renseigné sur ce sujet auprès de sa banque. Aujourd’hui, les intérêts sur les comptes d’épargne ne sont plus aussi intéressants. Il se souvient avoir vu passer des extraits en fin d’année, où il était écrit que le montant des intérêts qu’il touchait, était de EUR 500. Gagner de l’argent ainsi, sans rien faire, ce n’était pas mal non ?
Toutefois ceci est de l’histoire ancienne et n’est donc plus d’actualité. S’il ouvre un compte d’épargne à son enfant aujourd’hui, le taux d’intérêts se situe proche de zéro, ce qui signifie qu’à part les économies déposées sur le compte, le montant ne changera pas, ou presque !
Oui presque, car l’inflation joue aussi un rôle important. À l’heure actuelle, l’argent dormant sur le long terme perd en valeur. C’est-à-dire que si vous avez aujourd’hui EUR 10.000, vous risquez que la valeur de ces EUR 10.000 ne soit plus que de EUR 7.000 dans une vingtaine d’années.
Cet exemple a été calculé sur l’Inflationsrechner, avec un montant d’épargne de EUR 10.000 et un taux d’inflation de 2%, sur une durée de 18 ans. Le résultat indique que, vu l’inflation de 2%, pour ce qu’il est possible de s’acheter aujourd’hui avec EUR 10.000, il faudra d’ici 18 ans débourser EUR 14.000. En d’autres termes, l’épargne initiale de EUR 10.000, n’en vaudra plus que EUR 7.000.
Cela fait tout de même une sacrée différence que d’imaginer que du temps de Charel, il touchait à la fin de chaque année EUR 500, et qu’aujourd’hui il perdrait finalement du pouvoir d’achat. C’est ça l’inflation !
Sans hésiter, l’investissement sur le long terme ! Lors de son rendez-vous à la banque, Charel a obtenu toutes les informations utiles pour commencer à investir pour son enfant. Il a désormais un plan d’investissement qui lui permet de placer son argent sur le long terme, dans diverses catégories de produits, pour limiter tout risque de perte. Il a ouvert un S-Invest pour bébé, et pour lui souhaiter la bienvenue, sa banque lui a offert en cadeau EUR 50 à investir. Ensemble avec Julie, ils vont placer un certain montant chaque mois dessus, ainsi cet argent ne dormira pas sur un compte d’épargne et pourra prendre de la valeur.
Les nouveaux parents ne devront s’occuper de rien, car une fois l’ordre permanent mis en place, c’est la banque qui investira dans les fonds qui correspondent le mieux à Charel. Et puis disons-le, les jeunes parents seront bien assez occupés dès l’arrivée de bébé.
Mince on l’avait oublié Papi ! Vu que Charel a déjà un plan dans sa tête en ce qui concerne l’investissement, il va proposer à Papi d’ouvrir le compte d’épargne. Ainsi, Charel s’occupera de la partie investissement, et Papi sera ravi de pouvoir communiquer le numéro de compte de bébé à l’entourage, pour qu’ils puissent virer une somme en guise de cadeau de naissance. Puis à chaque grande occasion aussi s’ils le souhaitent. D’ailleurs, pour l’ouverture de son compte d’épargne bloqué, bébé recevra EUR 50 offerts par sa banque qui seront directement versés sur son compte.
Et si Papi le souhaite, il pourra aussi souscrire une assurance lalux-Study Cover pour sa progéniture, ainsi il bénéficiera de EUR 50 supplémentaires, à valoir sur l’assurance. Non seulement Papi sera content d’assurer l’avenir de sa progéniture, mais bébé disposera de tous les produits nécessaires pour que ses finances soient gérées au mieux.
Il s’agit d’une assurance vie, pour laquelle vous constituez une épargne en vue de préparer les futures études de votre enfant ou simplement ses premiers pas dans sa vie professionnelle future. L’épargne est due pendant toute la durée du contrat, même en cas de décès d’un des parents assurés.
À la fin du contrat, le montant de l’épargne est reversé à l’enfant, sous forme de rentes trimestrielles pendant une durée de 5 années, de quoi financer ses études.
Niveau finance, bébé est paré! Et en plus, il a bénéficié de EUR 150 offerts, grâce aux produits souscrits par son papa et son papi.
Vous n’aviez pas encore réfléchi au côté finance pour l’arrivée de bébé ? Qu’il soit déjà né ou pas encore, il n’est jamais trop tard pour repenser vos choix quant à son avenir. Retrouvez toutes les informations nécessaires sur notre page ou demandez conseil à votre banque 😉.